Comptes rendus de spectacles lyriques... entre autres choses....
Je tenais à saluer ici la naissance d'un nouveau site consacré au baroque dans tous ses états, et auquel j'ai le plaisir de contribuer. Nous attendons avec impatience vos visites, vos conseils et vos critiques (constructives bien sur 😉). A très bientôt Tout...
L'excellent Philippe Nicolas Martin à l'impeccable diction et aux graves capiteux. S'il passe près de chez vous, allez l'écouter ! Concert Version, in Palace of Arts - Budapest (december 03 - 2014) Conductor : György Vashegyi Orfeo Orchestra &Purcell...
Avec cet oratorio de 1750 (avant dernier oratorio de Haendel), on est loin, très loin de ce que la musique baroque peut parfois avoir d'excessif, d'ornementé voire d'ostentatoire. L'action repose sur une narration maigrelette, et privilégie les mouvements...
Remplaçant un concert Bejun Mehta, ce concert de Franco Fagioli était évidemment très attendu... Dernière coqueluche du monde baroque et, au-delà, du monde lyrique (il est le premier contre-ténor à signer chez Deutsche Grammophon...), Fagioli est un phénomène...
Tragique direction de Oren, qui, à son habitude se livre à une véritable dissection de la partition, dont il ralentit à l’excès la plupart des tempi. Le résultat est de priver cette musique de la plupart de ses harmonies et de ses dynamiques, distillant...
Concert au programme on ne peut plus baroque que ce concert réunissant trois voix féminines sous la direction de Spinosi. On pourrait presque reprocher au programme d’enchaîner des hits….. Malena Ernman ne m’a guère davantage convaincu que dans le Serse...
Première de la création en France de cet opéra seria de Vinci sur un livret de Metastase, représenté pour la 1ere fois à Rome début 1728, cette représentation fait suite aux résurrections, également initiées par Max Emmanuel Cencic du Siroe de Hasse et...
Opérette en trois actes créée en 1880 et qui se moque aimablement du sabre et du goupillon, quelques années avant la loi de séparation. Musique légère donc, mais qui est très proche de l’opéra-comique voire de l’opéra bouffe et qui n’est pas sans rappeler...
Ce concert était dédié à l’art de Caffarelli, castrat majeur de la scène napolitaine et qui en son temps captiva public et compositeurs presqu’autant que Farinelli (le fameux « Ombra mai fu » de Serse fut écrit pour lui). Et c’est peu de dire que ce concert...